Pour accompagner les entreprises dans leur processus de dématérialisation, la réglementation européenne a défini trois niveaux de signature électronique : la signature électronique simple, la signature électronique avancée et la signature électronique qualifiée. Différentes par les garanties juridiques apportées, ces signatures numériques diffèrent aussi par leur processus de mise en œuvre et le parcours utilisateur proposé ; leur niveau de complexité étant proportionnel au niveau de sécurité recherché.
Pour savoir laquelle répond le mieux à vos besoins et priorités, laissez-vous guider !
La signature électronique simple (ou standard)
Parcours utilisateur :
Privilégiant rapidité et simplicité d’exécution, la signature électronique simple constitue le premier niveau de sécurité. Accessible à tous, sans exigences sur la vérification d’identité du signataire, c’est la plus couramment utilisée.
Niveau de contrôle :
L’identification du signataire se limite généralement à une identité déclarée, une adresse mail et un numéro de téléphone, avec envoi d’un code de validation par mail ou SMS pour signifier l’approbation et valoir signature. Un fichier de preuves est établi tout au long du process de signature.
Destination :
Sa valeur juridique étant plus limitée que les niveaux supérieurs, la signature électronique simple est préconisée pour les documents à faible enjeu financier et juridique ou présentant un risque de recours moindre, de type : accusé de réception, contrats commerciaux de petits montants, notes de service, comptes-rendus de réunion. …